Nous avons eu une visite insolite dans la maison, un visiteur du soir qui est entré sans prendre la peine d’être invité. Il n’avait pas l’air bien méchant ce gros scarabée, mais on l’a tout de même invité à sortir au plus vite.
Photo prise sur le cadre de porte de notre chambre, l’animal mesure à peu près la longueur d’un gros doigt.
Suite/CommentaireNous sommes allé découvrir aujourd’hui, 22 octobre 2012, la petite ville de Touros, située un peu plus au nord, à environ 25 km de Zumbi.
La route (BR101) qui y mène est assez jolie, bordée de cocoteraies. Mais on y est surtout allé pour faire quelque courses de ravitaillement
et nous pensions déjeuner dans un resto près d’une plage mais tout était femé, ou presque. On s’est donc rabattus sur une « Lanchonete », l’occasion pour nous de goûter au fameux sandwich « Bauru ». Originaire de la région de Sao Paulo, ce sandwich est une véritable institution au Brésil. Disons que le Bauru est au Brésil ce que le Pan Bagnat est à la France.
A part ça, Touros n’a pas grand intérêt, c’est un gros bourg sans grand charme mais bien pratique pour faire des courses et des achats un peu conséquents, sans devoir aller jusqu’à Natal.
Il y a quand même aussi de belles plages, désertes, ou fréquentées surtout par des chevaux.
Suite/CommentaireAujourd’hui 21 octobre 2012, nous sommes allé nous promener du côté de Maxaranguape, sur le littoral au nord de Natal, pas très loin de chez nous.
On a commencé par s’empiffrer de langoustes grillées dans un resto de bord de plage
Le repas se termine par le traditionnel « cafezinho », un petit café offert, à disposition sur une table du restaurant.
Suivi d’une promenade digestive à l' »arvore do amor » (l’arbre de l’amour). Situé au Cabo Sao Roque. Par la force des vents, 2 troncs ont fini par s’unir en une arche naturelle, pour ne plus former qu’un seul arbre, aux racines impressionnantes.
En fait c’est un arbre à souhaits, où chacun vient faire un vœu. On dit aussi qu’un couple qui s’embrasse sous l’arche formée par les 2 troncs, restera unis pour la vie
(oui oui, on est allé faire le bisou)
Puis retour à la maison, en passant par une route secondaire, qui se transforme parfois en piste, jusqu’à Maracajau. Un paradis pour Buggies. On roule au milieu de dunes sauvages, croisant en fait, plus souvent des âne ou brebis, que des véhicules à moteur.
Suite/CommentaireNous voila fraîchement débarqués à Natal, le 15 octobre 2012, partis de Lyon à 13h30 (avec plus d’une heure de retard), nous atterrissons à Natal vers 19h30 (heure locale, soit minuit et demi heure française). Comme d’habitude, les formalités d’entrée sont longues et laborieuses, d’autant que nos bagages ne sont pas arrivés et que nous devons faire une déclaration. Le temps de récupérer la voiture de location, il est déjà plus de 22h00 lorsque nous quittons l’aéroport. J’ai réservé une chambre d’hôtel à Natal, pour ne pas faire +50 km de nuit, ce qui n’est pas recommandé au Brésil, d’autant après la fatigue accumulée d’une longue journée de voyage.
La chambre de l’hôtel Ponta do Mar dispose d’un balcon avec vue sur la plage de Ponta Negra. Nous payons 100 R$ (soit environ 38 €) pour deux personnes avec petits déjeuners compris, ça me semble plus prudent que de faire la route de nuit pour rejoindre Zumbi Praia.
Le lendemain, nous allons déjeuner à notre « cantine » habituelle à Natal, le restaurant Pinga Fogo, situé à 2 pas de notre hôtel. Ce restaurant « ao kilo » dispose notamment d’un Sushi bar où les préparations sont aussi magnifiques pour l’oeil que délicieuses pour nos papilles gustatives
Après un bon repas, non sans avoir pris le temps d’admirer la découpe du citron vert sur mon verre de Caïpirinha, nous partons ensuite faire des courses, afin de remplir le frigo et avoir quelques vêtements de rechange, en attendant de recevoir nos valises. Nous arrivons à la résidence Recanto Zumbi en fin d’après-midi.
Suite/CommentaireCela fait 6 jours que nous sommes arrivés au Brésil et le moins qu’on puisse dire c’est que le début des vacances a été mouvementé !
Dans l’ordre (ou le désordre), l’inventaire de nos péripéties :
– Nous sommes arrivés sans nos valises ! Restées coincées à Lisbonne pour une sombre histoire de panne d’ordinateur à l’aéroport de Lyon (aucun passager du vol Lyon / Lisbonne n’ayant eu ses bagages à l’arrivée à Natal). Ce qui est moins drôle, c’est qu’il n’y a pas une liaison Lisbonne/Natal tous les jours en ce moment, mais seulement 3 par semaines (les lundi, vendredi et samedi). Nous avons donc du patienter jusqu’à vendredi pour recevoir enfin nos chers bagages.
– Odette est tombée, se blessant à l’épaule (heureusement rien de grave, après un passage à l’hôpital hier pour quelques examens dont des radios qui nous ont confirmé que rien n’était cassé). Un traitement anti-inflammatoire de quelques jours devrait suffire, mais en attendant, elle doit renoncer à nager.
– Évidemment, si nous avons pu acheter (aux frais de la compagnie), les objets « dits » de première nécessité, il n’en a pas été de même pour certaines choses indispensables : médocs d’Odette, entre autres, mais aussi l’alimentation (chargeur) de mon PC portable. Et là, on se rend compte que 2h d’autonomie de batterie, quand il faut tenir avec pendant 5 jours, c’est vraiment pas beaucoup, d’autant que c’est l’ordi (grâce à Skype) qui nous permet aussi de communiquer par téléphone.
C’est pourquoi ce blog est resté silencieux, mais je vais me rattraper, surtout que tout ça nous a permis d’être confrontés à de nouvelles expériences, telles que les consultation à l’hôpital, ou la conduite de nuit au Brésil.
Après ces 5 jours de galère, on peut considérer que les vacances commencent réellement aujourd’hui, sous le soleil des tropiques, alors ne nous plaignons pas.
A suivre…
Suite/CommentaireAujourd’hui, 10 octobre 2012, J – 5 de notre prochain voyage de 2 mois au Brésil.
Pour les billets d’avion, je suis passé par le site Bourse des Vols, finalement le moins cher et plus avantageux que de réserver directement auprès de la compagnie.
Je viendrais donner des nouvelles de nos aventures brésiliennes régulièrement ici. « Stay tuned ! » comme on dit maintenant, ou plutôt (peut-être) « Fique ligado ! » 😉
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